Lindsay REED

ft Shantel Van Santen

SURNOM(S) : chuckette ÂGE : vingt-cinq DATE DE NAISSANCE : 22 juillet 1985 LIEU DE NAISSANCE : Port Hudson ORIENTATION SEXUELLE : hétérosexuelle EMPLOI(S) ET/OU ETUDES : serveuse au Lucky Leon's STATUT : mariée ORIGINES : américaine

Une histoire à t'en donner le tournis

(c) tumblr

La perfection t'approche. Délirante Fiable Spontanée Créative Sans égale Assume ses défauts

Personne n'est parfait. Curieuse Râleuse Obstinée Gourmande Tête en l'air Chieuse

Mes pensé(e)s, mon physique ... Un mot seul permet de me décrire : PARFAITE. Enfin, à mes yeux c'est suffisant. Mais j'entends déjà les plaintes des jaloux alors je vais me décrire plus amplement. A vous de juger par la suite pour déterminer qui a raison, et qui a tort bien entendu. On commence par quoi ? Le physique ? Ca sera plus vite fait … mais en même temps, en parler à la fin vous permettrais d'oublier la grande partie sur mon caractère … donc commençons par celle-ci. On pourrait me caractériser comme étant une chieuse née. Venue sur terre pour emmerder le monde. Mais ce n'est pas le cas … même si cette mission m'aurait été à ravir. Il est vrai que j'aime fouiner un peu partout, tout savoir, donner mon avis sur tout et surtout râler. Mais n'est-ce pas le portrait de la femme parfaite de nos jours ? Une femme libérée qui remercie ses aïeules d'avoir permis à la femme d'ouvrir sa bouche. Parce que oui, je les remercie chaque jour. Vivre dans un monde sans pouvoir placer plus de 1000 mots par jour aurait été une angoisse pour moi … et cette idée me fait faire des cauchemars parfois. Parce que oui, j'aime parler. Pour tout et pour rien. J'angoisse à chaque extinction de voix et n'hésite pas, grande courageuse que je suis, à tester tous les remèdes les plus dégoûtant et repoussant pour retrouver mon charmant timbre de voix. Je n'économise jamais ma salive … mais la meilleure façon de me faire taire et de plonger une langue au fond de ma gorge. Quoique … ça ne marche même pas tout le temps. Peut-être par habitude … ah oui, je suis obligée de préciser que j'ai toujours aimer les hommes. Les vrais. Les forts. Et charmer ne m'a jamais posé de problèmes. Au contraire. J'ai toujours trouvé amusant de pouvoir jouer de ses atouts offert par Mère Nature pour obtenir ce que je désirais. D'ailleurs, plus têtue qu'une mule, ça m'a toujours servi. Parce que non, je ne lâche rien. Rien de rien. Non je ne lâche rien. C'est payé, balayé, oublié, je me fous du passé ! Oui, je ne suis pas du genre rancunière. Je préfère penser à demain, plutôt que de m'apitoyer sur hier. Et de toutes façons, vu ma mémoire de souris … je ne sais plus du tout où j'étais l'année précédente … ni même ce que j'ai mangé à midi. Tête en l'air, sans aucun doute. Je parle et je réfléchis ensuite. La spontanéité ça s'appelle d'après un diagnostique des plus professionnels par mon professeur d'histoire du lycée, qu'il avait pris soin, au passage, d'inscrire en rouge sur mon bulletin de note. Ouais, ça je ne l'ai pas oublié. Certaines choses sont marquantes à mon esprit … et souvent d'ailleurs les plus insignifiantes. Je me souviens par exemple avoir mangé du riz la première fois que j'ai mangé chez Hanna, et je me souviens avoir porté une robe rose la première fois que j'ai tiré la queue du chat. Mais bref. Je n'oublie pas non plus le calvaire que j'ai pu endurer à cause de l'amour, mais il est bien enfoui au fond de moi. Je n'aime pas abordé les sujets délicats ou douloureux. Je préfère au contraire les garder pour moi. J'emmerde déjà bien assez le monde comme ça. Et je préfère croire en l'amour … je ne suis pas crédible ? Non. Parce que ça fait longtemps que je ne crois plus au prince charmant. Et que je ne m'attache plus à un mec. Je préfère papillonner … c'est beau les papillons non ? Et papillonner me permet de faire un peu d'exercice … parce que je déteste le sport. J'adore manger, mais il est hors de question que je pose mes fesses sur un vélo. Trop douloureux. Alors que je pourrais manger un hot dog suivi d'une pizza tout en buvant un chocolat chaud. Rien ne m'effraie. Casse-cou et dotée d'une certaine confiance en moi, j'ose tout tenter. Mais vraiment tout. A tous les domaines. Mis à part cela, on peut avoir confiance en moi. Je réponds toujours présente lorsque quelqu'un nécessite mon aide, et je possède deux oreilles très attentives. Et je ne répète rien. C'est dur à croire, mais je connais une plombe de secret sur plein de gens … je divulgue les choses sans importance uniquement. Voilà, vous m'aimez ? Bon alors passons au physique pour vous faire tomber à mes pieds. J'ai hérité de mon père au niveau de la taille. Je mesure 1m70 ce qui me permet d'éviter les talons hauts dans la vie quotidienne. Heureusement, parce que j'ai le dos d'une mamie … et les pieds fragiles. Capilairement parlant, j'ai toujours opté pour une longue chevelure châtain clair avec laquelle je peux m'amuser. Les cheveux en bas, ou attachés … tout dépend de mes activités. D'ailleurs, vous pouvez aussi me voir avec les cheveux lisses -quand j'ai le courage- ou bouclés -lorsque j'écoute la partie grosse flemme qui sommeil en moi-. Je porte toujours un léger maquillage pour avoir l'air réveillée et en forme, mais n'applique la totale que pour des soirées. Le look « pouff » tous les jours ne me correspond pas. Un peu de mascara et de crayon pour mettre mes yeux noisettes en avant et du blush et de l'anti-cerne pour avoir l'air plus que potable. Comme l'eau de ma salle de bain. Ma garde robe est relativement bien fournie, appréciant le shopping comme toute fille normalement constituée. J'aime suivre la mode, tout en étant à l'aise la journée. Vous pourrez me voir en jean, tout aussi bien qu'en short ou en robe beaucoup trop moulante … tout dépend du lieu, de l'heure et du taux d'alcool dans mon sang. So … let's have fun together !

© Crazy Bunny

Ce qui a fait de moi ce que je suis aujourd'hui ... « L'enfance est ce que nous passons notre existence à essayer de retrouver. » Je garde un bon souvenir de mon enfance. Oui, très bon, malgré le départ de ma mère. Et pour cause, dès mon plus jeune âge j'ai toujours eu un faible pour mon père. Non rien de sentimental là dessous, mais j'ai toujours adoré aller pêcher avec mon père. L'occasion de se retrouver en tête à tête tout en pouvant toucher des vers sans aucun reproche … la belle vie ! Et puis ma mère n'était pas du genre attentionnée. J'ai d'ailleurs toujours pensé qu'elle m'en voulait de lui avoir fait perdre neuf mois de sa vie, fait prendre douze kilos et de lui avoir infligé quinze heures d'intense douleur … mouais au fond je peux la comprendre. Peut-être que c'est pour ça que je ne lui en ai jamais voulu. Etre la petite fille à papa me convenait parfaitement, et ce fut presque un soulagement lorsqu'elle quitta le domicile familial à mes sept ans. Enfin, je sentis ce soulagement après des semaines à pleurer le soir dans mon lit, Monsieur Ours serré dans mes bras. Ce fut d'ailleurs les seules semaines où je ne collais pas mon oreille au mur pour espionner les voisines. Mais bon, comme à toute chose, j'ai finit par m'y faire. J'ai alors pu grandir sous l'attention de mon père, facilement derrière mon dos. Il me faisait confiance, mais ne savait pas vraiment comment s'y prendre avec une jeune fille. Une fois le temps de la petite souris révolu et du maquillage arrivé, mon père était un peu plus … tendu. Il lisait des tas de livre sur l'éducation et changeait ainsi chaque semaine de technique avec mon « cas ». Pourtant j'étais plutôt agréable à vivre. Taquine, mais toujours gentille, comme Candy me l'avait appris à mes quatre ans. Enfin au fur et à mesure je m'amusais de ses techniques très étranges, et en lisant le livre avant lui je savais quoi lui répondre pour le mettre dans l'embarras. Non, mais sérieusement, il ne pouvait pas se plaindre. J'acceptais mes belles mères passagères -au nombre de trois- et faisais mon possible à l'école. Je ne décrochais pas les meilleurs résultats, ni le grade de major de ma promo, mais j'arrivais à passer les classes sans avoir à user de mon charme … ou de celui de belle-maman numéro trois. Il y eu juste une année où le cours de biologie avait bien failli me faire couler, mais grâce à des cours particuliers de mon père tous les soirs -et quels souvenirs de ces instants !-, je pu sortir la tête de l'eau … contrairement à la grenouille que j'avais dû alors disséquer. « On ne peut pas empêcher un coeur d'aimer. » Puis vint l'adolescence. Enfin carrément le post-adolescence. J'avais fini par obtenir mon diplôme, même en répondant que « les poissons étaient bien adaptés à l'eau, car ils avaient le pied marin » … tout peut arriver dans la vie. Oui cette phrase résume bien ma vie entière. De quoi sera fait demain ? Et bien pas le lendemain de ce merveilleux jour où j'avais pu passer le ruban de l'autre côté de mon chapeau d'étudiante diplômée, mais dans les semaines qui suivirent, je fis la connaissance de Brett. Un jeune homme charmant. Il avait tout pour plaire, et il fut mon premier amour. Véritable amour. J'avais déjà eu des histoires profitant de mes atouts, mais mon coeur n'avait jamais été épris de la sorte. Je l'aimais, et j'avais même été prête à tenir tête à mon père pour poursuivre cette idylle. J'ai même déménagé … l'espace de quelques mois avec lui. Mais il avait un défaut, un gros. L'alcool, la jalousie et la violence. Oups, ça fait trois défauts. Pardon. J'ai laissé couler pendant un moment, trop longtemps en y repensant. Mais un soir, alors qu'il levait une nouvelle fois la main sur moi je mis les voiles. Mon père et mes amies avaient finit par m'ouvrir les yeux. Brett n'était pas pour moi. Il n'avait aucunement le droit de lever la main sur moi. Soutenue par mon cercle d'amis, j'ai fini par l'envoyer en prison … et me prendre un appartement à moi. Cette histoire m'a permis de m'endurcir et peut-être même un peu trop. Mon coeur n'est en effet pas prêt de s'ouvrir à nouveau … je fais tout pour l'éviter en tout cas. J'ai alors emménagée seule, et après quelques semaines pour m'habituer à cette nouvelle vie, j'étais à nouveau prête pour emmerder le monde, mon monde. J'ai pu compter sur mes anciennes voisines pour me proposer un boulot et me permettre de subvenir à mes besoins. Oh mais mon cher papa n'est jamais allé très loin. En réalité, je mange tous les dimanches chez lui avec belle-maman numéro quatre. Ma préférée du lot. Je reste une fille à papa dans un sens, mais c'est utile de pouvoir s'accrocher à quelqu'un dans la vie. Surtout que la vie n'est pas facile. Après quelques années de ce désastre amoureux, un ouragan n'a pas hésité à déblayer la ville. Ma ville. Tout a été réduit à néant en moins d'une après-midi … alors que la journée avait commencé comme toutes les autres. Une épreuve de plus, une ville à reconstruire, des amis en moins à qui on pense toutefois toujours. « Le mariage peut être un lac orageux, mais le célibat est presque toujours un abreuvoir boueux. » Mais pour me changer les idées, mon père, nouveau gagnant au loto -je ne savais même pas qu'il y jouait-, m'offrit un voyage à Las Vegas. Il avait tout organisé, me poussant dans un avion avec quelques amis. J'étais réticente au début mais changer d'air me faisait du bien. J'avais l'impression de pouvoir respirer à nouveau et de pouvoir vivre. Loin des traquas devenus quotidiens, j'ai alors aligné quelques verres, surtout le dernier soir … et de cette soirée je ne me souviens pas grand chose. Rien même. Je me souviens juste m'être réveillée à Port Hudson dans mon lit, à côté d'un homme, une bague au doigt. Et ce n'était pas une blague, des papiers des plus officiels étaient déposés sur le sol … entre nos habits. Le mariage est une loterie, alors espérons que je sois aussi chanceuse que mon père … sinon un divorce sera à ajouter sur mon CV … à tout juste 25 ans. La vie semblait pourtant me sourire en poussant mon père à me donner une somme d'argent pour vivre plus simplement … mais la vie est riche en surprise.

© Crazy Bunny

Comment j'ai vécut l'ouragan... « Flash info spécial: Nous sommes désolés d’interrompre votre programme mais le département de météorologie vient de nous informer qu'un terrible ouragan est en approche de Port-Hudson. Alors prévenez vos familles, vos amis, vos voisins, et mettez vous à l'abri ... » Je me rappelle de cette phrase comme si je l'avais entendu hier, et je m'en souviendrais encore dans trente ans. Ca fait partie des choses qu'on vit et qui nous marque à jamais. Je me souviendrais de la journée en détail … et des semaines suivantes sans la moindre hésitation. Tout semblait si surréaliste, et pourtant si réel. Je m'étais levée dans le milieu de la matinée, comme bien souvent après une soirée un peu alcoolisée. J'étais au côté d'un jeune homme, mais j'étais vêtue. Je pensais alors que la journée commençait bien vu que j'avais évité de coucher avec un semi-inconnu … mais tout allait changer. Je m'étais levée et j'avais rapidement trébuché sur un corps. Vivant encore pour sa part. Tout en me recoiffant, je laissais mes idées se remettre en ordre dans ma tête, reconstituant la soirée de la veille. Oui, la fête avait eu lieu chez moi. J'avais eu la bonne idée d'inviter quelques amis, qui avaient finis par venir accompagné d'autres amis. Une vraie fête pendant laquelle je m'étais bien amusée. Mon mal de tête le prouvait. Après avoir enjambé deux autres personnes allongées sur mon tapis, je pénétrais dans mon salon … où on aurait dit qu'une tornade avait prit part à la soirée. Mais non, c'était juste notre bordel … pour le moment. J'avais émis un gémissement plaintif à cette vision en n'imaginant déjà les heures de rangement qui m'attendait. Je ramassais quelques bouteilles vides en me dirigeant dans la cuisine où j'espérais trouver de quoi faire taire mon ventre affamé. Bien que je n'arrive jamais à le faire totalement taire. Je pris une pomme, la seule chose saine dans cette cuisine et allai ouvrir les rideaux du salon. Fiou, la lumière du jour était une horreur. J'avais même cru pendant deux secondes que je m'étais transformée en vampire pendant la nuit et que j'allais mourir à cette lueur si forte … mais même pas. J'avais eu envie d'une douche, mais un aller simple dans la salle de bain m'avait fait abandonner ce choix. Trois personnes avaient élus domicile dans la baignoire … j'avais émis un rire en n'imaginant qu'ils auraient, en plus de la gueule de bois, un magnifique mal de dos. Ma consolation du moment. Je m'étais alors attachée les cheveux et avais commencé à réveiller tout le monde. En n'hésitant pas à les réveiller de mes pieds. Je rassemblais les troupes pour m'aider à remettre l'appartement en état. Mon père devait passer le soir même et … autant dire que tout avait intérêt à briller. Enfin à peu près. Mais si il pouvait ne pas avoir de bouteilles vides sous les canapés, des habits accrochés à une lampe et des morceaux de pizza sur le sol, ça m'arrangeait. J'avais allumé la radio pour siffler en travaillant comme les nains de blanche neige … alors que le vent se levait dehors. C'était étrange … mais sur le coup on ne s'était pas posé plus de question. Ce n'était pas rare que le vent se levait vers midi pour emmerder le monde et reparte sans demander son reste. Mais les heures passaient et ça ne se calmait pas. Tout le monde avait élu domicile dans le canapé pour une petite sieste d'après rangement alors que la radio fit son flash spécial. La panique s'éprit de certaines loques sur mon canapé. Si j'avais su, pour tous les motiver j'aurais annoncé un ouragan dès le matin … mais trêve de plaisanterie. La situation était réelle … et la première vitre cassée nous le faisait comprendre. On se rua alors tous dans les caves, notre premier réflexe. Certains voisins y étaient déjà alors qu'on entendait pendant plusieurs heures le vent décupler de force. L'attente paru interminable … surtout que j'avais besoin d'aller au toilette. Mais passons. Personne ne savait combien de temps ça allait durer, ni combien de temps on devait rester là. On ne voyait rien et malgré ce qu'on imaginait, rien n'était à la hauteur de ce qu'on découvrit en sortant de notre tanière le lendemain. La ville avait été démolie … comme écrasée par un rouleau compresseur. Quelques bâtiments tenaient debout, comme mon immeuble, mais tout n'était qu'une ruine. Des débris partout barraient les routes alors que des corps gisaient au sol et des familles pleuraient. Je n'avais jamais vu ça … et j'aurais préféré ne jamais le voir. Mais c'était bien arrivé. Les semaines ont suivi et avec un immense élan de solidarité on a pu redonner vie à Port Hudson. Enfin un semblant de vie, mais tout le monde a pu retrouver un toit pour se loger. Il reste de nombreux travaux à faire, mais tout le monde semble déterminé. Et des gens affluent de partout.

Tu as quelque chose à cacher ?

© .silly love

PRÉNOM/SURNOM: Céline, la seule et l'unique
AGE: vingt et un je crois bien
FRÉQUENCE DE CONNEXION: le maximum !
CONNAISSANCE DU FORUM: les AA aux pouvoirs !
TON AVIS:
GROUPE: ashtray heart

Bienvenue Morue

J'aime bien ton gif ''tigresse'' c'est tout toi lol

Bienvenue sur le forum !

Merci ma morue AA3 , la tigresse est en moi

Merchiii Heaven

Bienvenue Lindsay

Bienvenue

Marchiiii vous deux

Et la AA #2 te souhaite la bienvenue du haut de sa gueule de bois.

Il est 9h40 et les gens ont décidés de tous sourire et de me taper la discute dans le métro. Mais moi j'ai mal au crannnnneeeeee. Seules des AA confirmées peuvent comprendre ma douleur.
Alors bienvenue. Sincèrement. Tigresse

Bienvenue Lindsay

Merciiii AA2 ! Je te comprends parfaitement !
J'étais pareil dimanche dernier

Marchiii Chris

bande d'alcoolique...!

Maiiis non !

Je crois avoir fini morue AA3 ... si il manque un truc faites le moi savoir !

Morue tu te le gardes pour toi lol

Et j'te valide "McBeautiful" pas prétentieuse pour un sous celle là lol

Merciiiiiiiiiiiiiiii

Chui validée, chui validée

AA1 tu es mon héroine. ta présa est encore un niveau au dessus que tous tes RPs sur Q. Juste génial, à chaque fois.

alcolo toi mm

Haaaan t'es chouuue
Merciii je vais essayer de pas te décevoir par la suite !

tu me décevras pas ^^

bienvenueeeeeeee